Le chef de la diplomatie béninoise en Côte d’Ivoire, accompagné d’une délégation, est allé toucher du doigt l’univers éducatif que cette université propose à ses étudiants. Située aux 2 plateaux – Vallon, à quelques encablures du Consulat, c’est un vaste domaine qui abrite l’université du Dr Alain CAPO CHICHI, spécialisée dans l’ingénierie informatique et dans l’intelligence artificielle (IA) en particulier.
Une visite guidée des locaux a permis de découvrir les différentes installations de dernières générations, ainsi que le personnel d’encadrement sans oublier les étudiants rompus à la tâche. Plus qu’une université, Cerco est un incubateur de jeunes entrepreneurs africains.
C’est d’abord dans son bureau que le promoteur de l’institut reçoit la délégation consulaire. Dix minutes durant, face à un écran géant, le PDG Cerco présente son projet. Monsieur BADIROU, président du conseil des sages de la communauté béninoise de Côte d’Ivoire et spécialiste de l’éducation et Monsieur Joseph KORBLAH, directeur administratif du Consulat, tous les deux aux côtés du Consul ont pu apprécier les fondements de cette école prestigieuse. La visite des lieux peut donc commencer sur un air d’assurance.
À l’accueil, un agent de sécurité posté devant quelques machines. Des portes informatisées s’ouvrent sur une grande cour. De grands tableaux portant des mentions nous accueillent. Le patron des lieux les explique les uns après les autres. Plus loin, un grand espace réservé aux festivités, équipé de hangars et d’hébergements se découvre après le grand hall. Ensuite, on a visité plusieurs salles équipées de nombreux ordinateurs et des amphithéâtres aux premier, deuxième et troisième étages. Le cadre est vaste et l’équipement est de pointe. Les étudiants à chaque niveau, nous ont témoigné leur joie de recevoir la visite de l’autorité. Le consul leur a prodigué quelques conseils en disant son admiration pour l’investissement et la vision futuriste du promoteur.
Certains étudiants de Cerco sont déjà actifs sur le terrain de l’emploi. D’autres nous ont expliqué les projets sur lesquels ils travaillent. Les uns créent des applications à la demande des entreprises qui les sollicitent. D’autres ont développé des jeux vidéo. L’enseignement à Cerco parait pratique et utile. Cela justifie aisément les nombreuses distinctions à leur actif.
Le consul et sa suite sont partis satisfaits de ce qu’ils ont vu. Une collaboration sera d’ailleurs proposée dans le sens d’informatiser les services du notre consulat. Peut-être que les usagers des régions reculées de la Côte d’Ivoire pourront faire leurs documents à distance. Wait and see!